26, 27 & 28 octobre 2018 – L’exposition “l’AB(bé) C(congo) de la vie : l’humanisme” à Dison

C’est Vendredi 26 octobre à 18 heures qu’a eu lieu le vernissage de l’exposition de Sarah Rentmeister (Journaliste à L’Avenir) sur son voyage du début août à Cibombo où elle a accompagné l’Abbé Stanis Kanda et l’Echevin de la Coopération au Développement de Dison, Mr Jean-Michel Delaval. Samedi et dimanche de 14 heures à 18 heures un public nombreux a visité cette exposition.

  Le jeu de mots du titre qu’elle a choisi pour son exposition (voir ci-dessus en rouge) révèle à quel point Sarah a ressenti toute la solidarité, tout l’humanisme, toute la reconnaissance qui se dégagent de ce peuple kasaïen refoulé du Katanga, toute la chaleur communicative des sourires de l’Abbé Stanis, son engagement vers ses frères refoulés, mais aussi envers ses frères d’adoption ici en Belgique.  Sarah a monté cette exposition avec son coeur, son admiration, ses émerveillements devant les regards qu’elle a croisés là-bas, avec ses moyens aussi, aidée en cela par Jean-Michel Delaval. On a pu les voir tous les deux, durant toute l’exposition, à l’écoute des visiteurs et disponibles pour répondre aux nombreuses questions.

Trois magnifiques panneaux reprenaient la série de quatre double-pages, publiées dans le journal “L’Avenir-Verviers” lors de son retour de Cibombo, mais aussi deux autres panneaux avec l’ASBL IPAMEC, le village de Cibombo et sa localisation au Congo.

Les murs du local de la Fondation Hardy de Dison, où se tenait l’exposition, étaient garnis de 17 photographies grand format. Des visages et des situations, montrant la vie des villageois, enfants, ados, ou parents, 21 visages sur ces photos, presque tous souriants malgré les situations parfois difficiles qu’ils traversaient, comme remonter cinq bidons d’eau de 20 litres sur un vélo qu’il faut pousser sur le chemin escarpé.  Je mets ci-dessous quelques vues  de l’exposition, mais je mettrai les photos originales lorsque Sarah me les aura fait parvenir. Je n’oublierai pas d’y ajouter le texte qui souligne chaque photo, car une partie du message et de la sensibilité de Sarah s’y trouve caché.

Merci Sarah, pour cette exposition qui touche le coeur et qu’il faudra montré le plus souvent possible et dans de multiples lieux car c’est un vrai portrait de Cibombo et d’IPAMEC.